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FORT DU DELLEC
Plouzané


Le fort du Dellec est situé sur la commune de Plouzané. Il a été édifié par Vauban au XVIIe siècle et était constitué par des remparts entourés de douves profondes et comprenait une batterie de 47 à tir rapide, en collaboration avec les batteries de la côte de Cornouaille au sud sur la presqu'île de Crozon. Le fort du Dellec a été remanié plusieurs fois après : rajouts de casemates et de soutes à munitions.


Il conserve aussi des structures de l'occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale avec la présence de blockhaus typiques du mur de l'Atlantique.


Le fort du Dellec fut un des nombreux éléments de défense de la rade de Brest. Ouvert au public, il est devenu un espace culturel et de loisirs en plein air. Les belvédères, accessibles au public, permettent d'assister au passage des nombreux navires dans le goulet de Brest.


Source : https://fr.wikipedia.org
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FORT DU DELLEC
Plouzané


Le fort du Dellec est situé sur la commune de Plouzané. Il a été édifié par Vauban au XVIIe siècle et était constitué par des remparts entourés de douves profondes et comprenait une batterie de 47 à tir rapide, en collaboration avec les batteries de la côte de Cornouaille au sud sur la presqu'île de Crozon. Le fort du Dellec a été remanié plusieurs fois après : rajouts de casemates et de soutes à munitions.


Il conserve aussi des structures de l'occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale avec la présence de blockhaus typiques du mur de l'Atlantique.


Le fort du Dellec fut un des nombreux éléments de défense de la rade de Brest. Ouvert au public, il est devenu un espace culturel et de loisirs en plein air. Les belvédères, accessibles au public, permettent d'assister au passage des nombreux navires dans le goulet de Brest.


Source : https://fr.wikipedia.org
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FORT DU MENGANT
Plouzané


Le fort du Mengant (écrit aussi Mingant) ou fort du Léon est situé sur la commune de Plouzané (Bretagne, France) et fait partie du dispositif de défense du goulet de Brest.


Ce fort comprend une batterie haute (58 m au-dessus du niveau de la mer) où se trouvait une tour d'artillerie aujourd'hui détruite, et une batterie basse en demi-cercle en bas de falaise où subsistent deux petites poudrières.


La "roche Mengant" est une écueil dangereux situé en plein milieu du goulet de Brest responsable de plusieurs naufrages dont celui du Républicain en 1794 et échouages (par exemple celui du cuirassé Charles Martel en 1897).


Source : https://fr.wikipedia.org
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PHARE ET POINTE
DU PETIT MINOU
Plouzané


Le phare du Petit Minou indique aux bateaux désirant se rendre à Brest, la route à suivre pour entrer dans la rade. Il forme un alignement avec le phare du Portzic.


Il comporte également un secteur rouge qui signale le plateau des Fillettes, l'une des roches immergées du goulet de Brest. Pour parer ce danger, certains marins utilisent ce moyen mnémotechnique :


« Le Minou rougit quand il couvre les Fillettes. »


Il se trouve en avant du fort du Petit Minou, sur la commune de Plouzané.


Haut de 26 mètres, il se trouve à 34 mètres au-dessus du niveau de la mer. Allumé en 1848 il est automatisé depuis 1989 et commandé depuis Brest. Son nom viendrait de min (pointe, en breton), au pluriel.


À côté du phare se trouve l'ancienne tour du sémaphore de la marine nationale ; il a été déplacé à la pointe du Portzic en 19841.


Source : https://fr.wikipedia.org
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PHARE DU PORTZIC
Brest


Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire en 1848, au niveau de la pointe du Portzic, en même temps que le phare du Petit Minou, qui le précède au nord du Goulet de Brest.


Le phare est allumé le 1er janvier 1848.


Il a été électrifié en 1953 et automatisé en 1994. Il est télécontrôlé depuis la station du phare du Créac'h depuis 2000.


Un poste sémaphorique est installé aux pieds du phare depuis 1987, suite au transfert du phare du Petit Minou au Portzic. Il constitue le poste essentiel de régulation du trafic maritime entrant et sortant de la Rade de Brest.


Au débouché du goulet de Brest côté rade, le phare fait face à la pointe des Espagnols.


Sources : https://fr.wikipedia.org
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PONT DE L'IROISE
ET PONT ALBERT LOUPPE
Plougastel / Relecq-Kerhuon



Le pont Albert-Louppe, d'abord appelé pont de Plougastel et encore appelé premier pont de Plougastel, est un pont franchissant l'embouchure de l'Élorn dans la rade de Brest pour relier les communes de Plougastel-Daoulas au Relecq-Kerhuon.
Sa construction, eut lieu entre 1926 et 1930.
Le pont Albert-Louppe est un pont en arc encastré avec tablier à deux niveaux. Le niveau supérieur est routier (maintenant réservé aux piétons, deux-roues et véhicules lents). Le niveau inférieur devait recevoir la ligne de chemin de fer Quimper-Brest mais n'a jamais été utilisé.
Les arches du pont constituaient à l'époque le record mondial de portée des ponts en arc de béton : 186,4 mètres. Les arcs culminent à 27,5 mètres au-dessus de l'eau et plus de 42 mètres au-dessus du fond de la rivière. Le pont fait 888 mètres de long. La poutre du tablier fait 9 mètres de large.
À ses extrémités veillent quatre statues du sculpteur René Quillivic.
En 1994, il est doublé, pour fluidifier la circulation, par le pont de l'Iroise qui lui est quasi parallèle.


Le pont de l’Iroise à été construit entre 1991 et 1994 il supplée l’ancien pont Albert-Louppe.
Le pont de l'Iroise est un pont à haubans, dont le tablier est directement supporté par une série de câbles. Il mesure 800 mètres de long, et 400 mètres séparent les deux pylônes. Lors de sa mise en service en juillet 1994, le pont détenait le record mondial de portée. Actuellement il possède la troisième plus grande portée principale de France, derrière le pont de Normandie et le pont de Saint-Nazaire et avant le Viaduc de Millau.


Source : https://fr.wikipedia.org
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POINTE DE L'ARMORIQUE
Plougastel-Daoulas


La pointe de l'Armorique est située à l'extrémité ouest-sud-ouest de la presqu'île de Plougastel ; elle fait partie de la commune de Plougastel-Daoulas. Faisant face à l'île Longue, elle subdivise en deux parties nord et sud la rade de Brest.


La pointe est un site géologique d'intérêt international, pour son récif corallien (falaise de calcaires bleus du dévonien), unique récif fossile de coraux et d'éponges du Praguien d'Europe.


Une présence militaire est attestée sur la pointe de l'Armorique depuis la fin du VXIIe siècle. Un fort occupe une partie de la pointe ; il est encore aujourd'hui propriété de la marine nationale et son accès est interdit au public.


Source : https://fr.wikipedia.org
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L'ÎLE RONDE
Plougastel-Daoulas


L’île Ronde est un îlot situé à 400 mètres au sud-ouest de la pointe de l’Armorique, sur le territoire de la commune de Plougastel-Daoulas. Point culminant : 24 m.


Description de l'Île Ronde en 1895 :
« L'Île Ronde (...) n'a rien de bien curieux, c'est une roche très haute disposée en strates très inclinées montrant des assises noires et blanches, sorte de marbre grossier dont on fit de la chaux avant que chemins de fer et bateaux à vapeur ne fussent créés. Au-dessus est une pelouse où les habitants du voisinage viennent couper de l'herbe, et une ligne de retranchements abandonnés, sorte de redan faisant face au fort de l'Armorique. »


Source : https://fr.wikipedia.org
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L'ÎLE LONGUE
Crozon


L’île Longue, en breton Enez Hir, sert de base sous-marine à la Marine nationale française pour ses sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE).


L'isthme reliant l'île Longue au continent était à l'origine un cordon sablonneux, uniquement franchissable à marée basse. Il a été élargi et rendu insubmersible lors des travaux de construction de la base opérationnelle.


Des vestiges d'anciennes tombes ont été retrouvés sur l'île, ce qui induit un certain nombre de contraintes relativement à l'exploitation des lieux.


Source : https://fr.wikipedia.org
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ARSENAL DE BREST


L’arsenal de Brest ou port militaire de Brest est une base navale de la Marine nationale française située dans la rivière Penfeld, à Brest. Il s’agit de la seconde base navale française, après celle de Toulon et devant celle de Cherbourg. Dans le langage populaire ouvrier brestois, l’arsenal de Brest est aussi appelé l’arsouil’...


Source : https://fr.wikipedia.org
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ÎLE TRÉBÉRON
Crozon


L'île Trébéron est située dans la baie de Roscanvel, au sud-ouest de la rade de Brest, entre la presqu'île de Quélern et l'Île Longue. À 300 mètres à l'ouest se trouve l'île des Morts, à 300 mètres au sud-est se trouve l'île Perdue. Une impasse de la ville de Brest porte son nom.


En 1720, l'île de Trébéron devient un lieu de quarantaine. Le lazaret qui y est construit accueille les marins de retour d'expédition en zone tropicale où règnent des maladies épidémiques, les équipages « trop » malades (scorbut, gale…), ou les bagnards arrivant au bagne trop épuisés. Les morts sont enterrés sur l'Île des Morts toute proche, les survivants, au bout de 40 jours, ont le droit de regagner la Penfeld.


Au début du xixe siècle, l'île des Morts accueille une poudrière et perd sa vocation de cimetière du lazaret. Ce dernier est reporté sur la pointe nord de Trébéron.


Par ailleurs, à partir de 1826, l'ensemble du lazaret est réaménagé. De nouveaux bâtiments sont construits, dont le pavillon réservé aux officiers, dont les vestiges sont encore visibles aujourd'hui. En 1828, l'île est partagée en deux par un mur, séparant la zone de convalescence de la zone contagieuse.


Au début du xxe siècle, l'île perd une partie de sa vocation de lazaret pour se transformer en sanatorium, où les marins ou ouvriers de l'Arsenal sont mis au plein air, à l'écart de l'alcool et du tabac.


Pendant la Première Guerre mondiale, l'île est utilisée comme centre de convalescence pour les soldats et marins alliés ou ennemis soignés à l'hôpital maritime de Brest.


À la fin des années 1960, l'île entre dans le périmètre de protection érigé autour de l'Île Longue, et est interdite d'accès.


Interdite d'accès (zone protégée), l'île est entretenue par la marine, en partenariat avec le Conservatoire du littoral, dans l'optique d'une éventuelle mise en valeur des vestiges. Par ailleurs, la faune y a pris ses aises, et régulièrement, des campagnes de dératisation doivent être menées.


Sources : https://fr.wikipedia.org / Bretagne Magazine no 31 (novembre-décembre 2005-janvier 2006)


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ÎLE DES MORTS
Crozon


L'Île des Morts est située dans la baie de Roscanvel, au sud-ouest de la rade de Brest, entre Roscanvel et l'Île Longue. À 300 mètres à l'est-nord-est se trouve l'île Trébéron.


À la fin du XVIIe siècle, l'activité maritime de Brest s'intensifie, ce qui engendre des problèmes d'épidémies. L'île de Trébéron est alors désignée comme zone de quarantaine. Les navires contagieux sont alors dirigés vers l'île.


Au XVIIIe siècle, un lazaret y est construit et l'île est aménagée (plantation d'arbres) au fil des ans. L'Île des Morts, elle, devient le cimetière pour les hommes qui n'ont pas réussi à survivre au lazaret de l'île voisine de Trébéron et elle sert de sépulture jusqu'en 1808.


Durant le XVIIIe siècle, l'approvisionnement en poudre de l'arsenal de Brest se faisait depuis la poudrerie de Pont-de-Buis. Transportée par bateau, la poudre faisait une dernière escale sur l'île d'Arun, à l'embouchure de l'Aulne.


Les bâtiments en ruine de l'ancienne poudrerie
La poudrière de l'île d'Arun présentait plusieurs inconvénients : exiguë, éloignée de l'Arsenal, elle ne pouvait convenir au contexte des guerres napoléoniennes.


En 1808, Jean-Nicolas Trouille, directeur des Travaux Maritimes, décide l'aménagement de l'Île des Morts en poudrières1.


Les travaux de déroctage, effectués par les forçats du bagne de Brest, permettent de niveler un plateau accueillant trois poudrières, bâtiments de 45 mètres de long sur 12 de large, sur deux niveaux, où, pour éviter toute explosion, l'utilisation du métal est proscrite.


En complément à ces bâtiments, sont bâtis un môle (qui s'élance vers l'île Trébéron), plusieurs cales de débarquement et une longère servant de casernement pour les troupes responsables du lieu.


En 1868, avec l'arrivée du chemin de fer à Brest, la Marine décide la construction d'une nouvelle poudrière à Saint-Nicolas, à Guipavas. L'Île des Morts reste toutefois utilisée pendant les deux guerres mondiales, époque de laquelle datent les vestiges d'une voie ferrée « Decauville » sont encore présents.


Au début du XXe siècle, le lazaret est transformé en sanatorium. De nombreux marins et ouvriers de Brest y sont envoyés en cure. Durant la Première Guerre mondiale, l'île sert de centre de repos pour les soldats en convalescence.


En 1960, les installations sont déclassées. Quelques années plus tard, l'île entre dans le périmètre de protection érigé autour de l'Île Longue, et est interdite d'accès. Elle est devenue le refuge de nombreux oiseaux.


Interdite d'accès, l'île et les bâtiments, dont la qualité de réalisation a assuré la pérennité jusqu'à aujourd'hui, est entretenue a minima, dans l'optique d'une éventuelle mise en valeur des vestiges. Par ailleurs, la faune y a pris ses aises, et régulièrement, des campagnes de dératisation doivent être menées.


Sources : https://fr.wikipedia.org / Bretagne Magazine no 31 (novembre-décembre 2005-janvier 2006)
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